5 exercices faciles pour travailler la confiance en soi

Qui n’a jamais connu une baisse de confiance en soi au travail ? Même les plus grands dirigeants connaissent des passages à vide dans leur carrière. Mais il est toujours possible de rebondir grâce à quelques exercices faciles à implanter dans votre quotidien. Continuez la lecture pour reprendre le pouvoir sur vous-même.

Exercice 1 : Changer son discours intérieur

« Je suis bête d’avoir dit ça », « De toutes façons, je suis nul en comptabilité » … Le manque de confiance en soi provient souvent de la façon négative que nous avons de nous parler au quotidien.

À la façon de la méthode Coué, choisissez une affirmation positive à vous répéter chaque matin. Exemple : « Je suis au contrôle de ma vie ». Bien sûr, vous pouvez changer d’affirmation quand vous le souhaitez. “Empowerment” garanti.

Exercice 2 : Reprendre conscience de ses forces

Avez-vous remarqué qu’il était plus facile d’évoquer ses défauts que ses qualités pendant un entretien d’embauche ? C’est parce que l’esprit humain est naturellement attiré vers le négatif.

Pour changer cela, faites la liste de tout ce que vous savez faire, parfois mieux que les autres. Effectuer un bilan de compétences auprès d’un professionnel peut vous aider à identifier vos forces et à les valoriser sur le marché du travail.

Exercice 3 : Se fixer des objectifs mais se donner le droit à l’échec

Vous faites peut-être partie des perfectionnistes qui ont un mal fou à envisager l’échec sans se dévaloriser. Ce comportement, souvent lié à des injonctions entendues pendant l’enfance , est un facteur élevé de burn-out chez les personnes qu’il concerne.

Grâce à la visualisation, apprenez à vous imaginer dans une situation idéale : la réussite totale de votre projet. Puis, effectuez le même exercice avec une situation d’échec. Quel est le pire qui pourrait arriver ? Vos échecs vous définissent-ils en tant que personne ? (Spoiler : la réponse est non.)

Exercice 4 : S’affranchir du regard des autres et de la comparaison

Trop souvent, nous dictons nos comportements selon ce que l’on va penser de nous. Et pourtant, la majorité du temps, les autres sont bien trop occupés pour nous remarquer. De plus, ils passent par les mêmes doutes et questionnements que nous.

Dans ce genre de situation, l’exercice consiste à imaginer les difficultés que peuvent éprouver les personnes autour de vous. Vous verrez que vous éprouverez moins le besoin de vous comparer à eux, ni d’obtenir leur approbation.

Exercice 5 : Se faire aider pour retrouver confiance en soi

Parfois, tous les exercices du monde ne parviennent pas à nous redonner confiance en soi. Ce n’est pas un échec, mais simplement le signe qu’un blocage plus profond nous empêche d’avancer. Même s’il peut être difficile de montrer sa vulnérabilité, le coaching ou la thérapie sont des solutions qui ont fait leurs preuves pour améliorer l’estime de soi.

C Bo Talents vous accompagne grâce à l’hypnose de coaching, pour retrouver confiance en vous et débloquer votre plein potentiel. Contactez-nous pour organiser votre prochaine séance. Nous avons hâte de faire ce chemin avec vous.

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Comment se libérer des 5 injonctions de l’enfance ?

Et si une grande partie de nos comportements était conditionnée depuis notre enfance ? C’est ce que suggère le modèle des « drivers » bien connu en Process Communication®. Être fort, faire des efforts, se dépêcher, faire plaisir ou être parfait : autant d’injonctions qui peuvent moteur autant qu’elles peuvent nous empêcher d’avancer une fois adulte. Voici leur mode d’action et comment en faire des forces.

Qu’est-ce qu’un driver en Process Communication® ?

En lien avec les différents types de personnalité de la Process Communication® , les « drivers » sont des comportements subtils, intégrés inconsciemment pendant l’enfance. Sans que nous le sachions, ces drivers dictent nos actes et nos choix en tant qu’adulte, dans notre vie professionnelle et personnelle.

Un driver marque l’enclenchement de ce que l’on appelle « une séquence de détresse ». Lorsque nos besoins ne sont pas satisfaits, nous manifestons des comportements négatifs. La communication devient alors dysfonctionnelle, ce qui peut mener à des conflits sur le lieu de travail , plus ou moins exprimés. Pour chaque driver, nous nous sentons obligé.e de nous plier à une injonction, ou bien nous attendons des autres qu’ils le fassent.

1. « Sois fort.e »

Cette injonction incite à dissimuler ses sentiments et à affronter la difficulté seul.e plutôt que demander de l’aide. Par manque de confiance, la personne n’accepte pas de se montrer vulnérable.

Le challenge : apprendre à accepter ses émotions et à s’ouvrir aux autres.

2. « Fais des efforts »

Selon ce driver, la réussite ne peut passer que par un effort harassant. Impossible de réaliser quoi que ce soit sans y mettre toute son énergie, au risque d’éprouver de la culpabilité.

Le challenge : se défaire de la pression et de la culpabilité.

3. « Dépêche-toi »

Souvent assénée par les mères à leurs enfants, cette phrase crée des adultes multi-tâches, vivant dans une urgence constante. Or, à trop se disperser, le risque est de ne rien faire correctement ou de ne pas aller jusqu’au bout.

Le challenge : une tâche à la fois pour vivre dans l’instant présent.

4. « Fais plaisir »

Caractéristique du type « Empathique », ce comportement consiste à faire passer les besoins d’autrui avant les siens. Certain.e.s vont même jusqu’à adopter des opinions qui ne sont pas les leurs, juste pour se sentir aimé.e.s.

Le challenge : se recentrer sur soi, apprendre à s’affirmer et à dire « non ».

5. « Sois parfait.e »

Les personnes sous l’emprise de cette injonction passent leur vie entière à essayer de faire toujours plus et mieux. Elles ont beau savoir que la perfection n’existe pas, c’est plus fort qu’elles. Le risque de burn-out est particulièrement élevé chez ce type de personnalité.

Le challenge : se donner le droit de faire des erreurs et de prendre du repos.

Comment utiliser les drivers de la Process Communication® pour être efficace ?

La première étape est de prendre conscience des drivers qui nous concernent. Une fois conscientisés, ils peuvent devenir de véritables forces. Une personne qui a pris le temps d’apprendre à se connaître est un dirigeant solide, un manager authentique ou encore un indépendant qui prospère.

La Process Communication® s’invite maintenant dans les coachings de C Bo Talents. Réservez votre séance pour vous défaire des injonctions et enfin révéler votre plein potentiel !

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Comment intégrer au mieux un salarié hypersensible ?

Si votre image de l’hypersensibilité est celle d’une personne incapable de contrôler ses émotions, ni de créer des relations de qualité, alors détrompez-vous. S’il est difficile pour les personnes hypersensibles de s’intégrer parfaitement dans le paysage professionnel, c’est parce que l’on connait encore trop peu cette particularité. Zoom sur l’hypersensibilité et les différentes façons de la rendre compatible avec la vie de bureau.

L’hypersensibilité, qu’est-ce que c’est ?

Une personne est qualifiée d’hypersensible lorsqu’elle est confrontée au quotidien à :

  • Une sensibilité accrue au niveau des sens, parfois les 5 en même temps ;
  • Une surcharge émotionnelle comparable à des « montagnes russes », doublée d’une grande capacité d’empathie ;
  • Un cerveau en ébullition permanente, avec des pensées qui jaillissent constamment.

Les difficultés de la vie professionnelle pour un.e hypersensible

La multiplicité des connexions entre les neurones des hypersensibles, rendent leur fonctionnement cérébral différent de celui des autres personnes. Ils/Elles perçoivent un nombre incalculable d’informations au cours d’une journée et traitent chacune d’entre elles avec une grande profondeur. Cette activité intérieure permanente les rendent plus enclins à la fatigue, ce qui en fait d’excellents « clients » au burn-out.

Ils/elles aimeraient être partout à la fois, et mettre en oeuvre la foule d’idées qui viennent à eux/elles chaque jour. Rapidement submergé.e.s par leurs émotions, mais aussi par leur charge de travail, ils/elles éprouvent des difficultés à hiérarchiser leurs tâches.

Comment faciliter la vie des hypersensibles au travail ?

Travailler en open-space peut devenir un enfer pour un.e hypersensible lorsque le niveau sonore devient trop élevé. Perçus comme « normaux » pour le commun des mortels, bruits ambiants, passages de collègues, conversations non relatives au travail, sont autant de stimulis non sollicités. Frein à la concentration, ils font aussi baisser la productivité. Il est donc primordial pour un.e hypersensible d’évoluer dans un environnement en accord avec ses besoins (réduction du bruit, bureau séparé, télétravail …).

Même s’ils/elles n’en ont souvent pas conscience, les hypersensibles sont des êtres profondément créatifs et intuitifs. Mais leur grande capacité d’analyse leur confère une tendance permanente à la remise en question et souvent un manque de confiance en soi. Plutôt que de se fier à leur intuition développée, ils accordent davantage d’importance à l’opinion des autres. Faire plaisir à autrui pour préserver l’harmonie collective, et se préserver soi-même. Le management doit donc être tourné vers la prise en compte de ces spécificités grâce à l’intelligence émotionnelle. On doit laisser le champ libre pour que le/la salarié.e hypersensible reconnaisse ses propres talents et puisse mettre à profit sa sensibilité car il s’agit bien d’un atout.

Parce qu’ils/elles sont des « over-thinkers » (personne qui pense « trop »), nombre d’hypersensibles se retrouvent victimes du fameux syndrome de l’imposteur. Ces personnes ont un besoin constant d’être rassurées et encouragées. Elles peuvent donc être perçues comme des salarié.e.s fragiles, dont l’intégration et le management posent problème. Or, il n’en est rien. Les grandes qualités d’un.e hypersensible en font un atout indéniable pour toute entreprise. Sans oublier son fonctionnement cognitif en arborescence qui lui confère une multi-potentialité hautement appréciée dans un poste à responsabilité, par exemple.

Votre hypersensibilité vous confronte à des difficultés au travail ? Vous intégrez un.e salarié.e hypersensible ? C Bo Talents vous accompagne pour faire pousser (toutes) les graines des talents. Réservez dès maintenant votre séance de coaching.

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Comment tenir ses bonnes résolutions une bonne fois pour toutes ?

Début d’année rime souvent avec bonnes résolutions : manger plus sain, lire davantage … Or, peut-être faites-vous partie de cette majorité de personnes pour qui les nouvelles habitudes disparaissent aussi vite qu’elles sont arrivées. Pourquoi avons-nous tant de mal à tenir nos bonnes résolutions ? Vous allez voir que ce phénomène est surtout lié à la psychologie humaine. Mais il est possible de la contourner, ou plutôt de composer avec elle. Explications.

Plaisir immédiat plutôt que bénéfice à long terme

« Oh et puis j’irai au sport demain … » Cette phrase vous dit quelque chose ? Il nous est déjà tous.tes arrivé de choisir de rester au chaud devant une bonne série, plutôt que de sortir braver le froid pour aller à la salle de sport. Car il s’agit bien d’un choix, et il est humain d’opter pour la récompense immédiate (après tout, le cerveau est friand de dopamine et de sérotonine). Dans ces moments, il peut être utile d’imaginer (voire de visualiser) les bénéfices à long terme de l’habitude que l’on souhaite se créer. Pensez à votre « pourquoi ». Cet objectif final est à voir comme un engagement envers vous-même. Et si cela ne suffit pas, arrangez-vous pour avoir des comptes à rendre à quelqu’un d’autre : ami.e, coach sportif …

L’inaction par peur de l’échec ou fatalisme

Si la plupart d’entre nous ne parviennent pas à tenir les bonnes résolutions, c’est parfois parce qu’il nous paraît plus prudent de ne rien faire. On se dit « En janvier, je commence à écrire un blog », mais on abandonne au bout de quelques articles (ou pire, on ne crée jamais ce fameux blog). Cette préférence pour l’inaction est en fait un mécanisme de défense bien rôdé pour protéger notre estime de soi. Elle nous octroie un faux sentiment de sécurité (rester dans sa zone de confort) en nous disant « si tu n’agis pas, tu ne risques pas de te tromper ». Peur de l’échec, donc. Mais c’est aussi par fatalisme que certain.e.s n’agissent pas : « À quoi bon ? De toutes façons, je ne tiendrai pas sur la longueur ». Il vous faudra un état d’esprit plus positif pour que le changement opère dans votre vie.

Comment « piéger » votre cerveau pour tenir vos bonnes résolutions

Lorsque nous décidons de nos résolutions en début d’année, nous sommes plus motivés que jamais. Dans notre euphorie, nous voulons tout faire en même temps et tout de suite. Or, on dit qu’une habitude se construit en 21 jours : sur cette durée, essayez de vous challenger en mettant votre résolution en pratique un peu chaque jour.

Si vous vous êtes fixé un objectif ambitieux, comme celui d’arrêter de fumer vous aurez besoin de décomposer ce but en petites actions à effectuer pour vous rapprocher progressivement de l’objectif. Éliminer la cigarette après le déjeuner la première semaine, puis la semaine suivante, ne plus fumer pendant la pause de l’après-midi …

Pour tenir vos bonnes résolutions, il ne suffit donc pas d’être motivé. Il vous faut un objectif précis et une organisation à toute épreuve pour honorer cet engagement envers vous-même. Si le manque de motivation est un problème pour vous, C Bo Talents propose des séances de coaching individuelles. Contactez-nous pour réserver votre première session.

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Comment trouver son ikigai ?

Nombreux sont les jeunes diplômés (et les cadres en quête de reconversion) qui se demandent dans quelle direction emmener leur carrière. Pour trouver la réponse à cette question, le pays du soleil levant a inventé un outil simple et puissant. Attrapez un crayon et une feuille de papier : c’est le moment de trouver votre ikigai.

L’ikigai : qu’est-ce que c’est ?

Créé au Japon, le terme ikigai rassemble les concepts « iki » (vie) et « gai » (qui vaut la peine). Trouver son ikigai s’apparenterait donc à donner un sens à sa vie, une raison de se lever le matin. Chez les Japonais, vivre en adéquation avec son ikigai est un gage de longévité et de bonne santé. Même s’il n’est pas toujours à visée professionnelle, cet outil peut se révéler très puissant pour trouver sa voie dans le monde du travail.

Les 4 éléments qui composent l’ikigai

Rassurez-vous, l’exercice de l’ikigai est bien plus simple qu’il n’y paraît. Pour vous y essayer, prenez le temps de réfléchir et de noter ces 4 éléments :

Ce que j’aime faire

Dans quelles activités vous sentez-vous bien ? Dans quelles tâches prenez-vous du plaisir au travail ? Quelles relations vous comblent ? Avez-vous des loisirs sur votre temps libre ?

Ce pour quoi je suis doué

Dans cette catégorie, notez toutes les activités dans lesquelles vous avez des compétences. Que savez-vous faire, peut-être même mieux que les autres ? Que cette opinion vienne de votre entourage ou de vous-même, elle est légitime dans l’exercice de l’ikigai.

Ce pour quoi je peux être payé

Quelles sont les activités pour lesquelles vous êtes déjà payé ? Celles pour lesquelles on pourrait vous rémunérer ? Et au-delà de l’argent, vous a-t-on déjà remercié ou reconnu pour un service rendu, par exemple ?

Ce dont le monde a besoin

Ici on ne parle pas de la paix dans le monde ni d’endiguer la famine. Interrogez-vous sur vos valeurs et sur la façon dont vous aimeriez contribuer au monde. Que pourriez-vous apporter aux autres ?

Au croisement de ces 4 éléments, demandez-vous à présent quelles activités pourrait les faire se rencontrer :

  • Entre ce que vous aimez et ce pour quoi vous êtes doué, se trouve votre passion,
  • Entre ce que vous aimez et ce dont le monde a besoin, se trouve votre mission,
  • Entre ce dont le monde a besoin et ce pour quoi vous pouvez être payé, se trouve votre vocation,
  • Entre ce pour quoi vous êtes doué et ce pour quoi vous pouvez être payé, se trouve votre profession.

Nos conseils pour utiliser l’ikigai

Pour tirer profit au maximum de cet exercice, rappelez-vous ces quelques astuces :

  • Avant de commencer, gardez l’esprit ouvert et laissez de côté les croyances que vous avez sur vous-même. Le résultat vous surprendra certainement.
  • Notez sur une autre feuille ce dont vous ne voulez plus voir dans le monde. Il est parfois plus facile d’identifier ce qui est déjà dans notre vie.
  • N’hésitez pas à demander à des proches de confiance de vous accompagner dans cette démarche.

C Bo Talents est là pour vous aider à identifier et valoriser vos compétences. Réservez un coaching pour prendre conscience de vos forces et trouver votre voie.

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Pourquoi travailler son intelligence émotionnelle en tant que manager ?

Selon le Forum économique mondial, l’intelligence émotionnelle figurera parmi les dix compétences les plus attendues chez un manager en 2022 (Source : The Future of Jobs Report 2018). Autant prendre le train en marche et travailler cette soft skill dès aujourd’hui pour façonner le management de demain. Vous y gagnerez, entre autres, un leadership plus aligné et une meilleure gestion de vous-même et de vos équipes. Zoom sur l’intelligence émotionnelle.

Une définition de l’intelligence émotionnelle

Comme son nom l’indique, le terme d’intelligence émotionnelle réunit à lui seul « intelligence » et « émotion ». Deux notions à qui l’on ne prête habituellement que peu de ressemblance. Pourtant, elles sont loin d’être incompatibles. Définie pour la première fois en 1990 par les psychologues Salovey & Mayer, l’intelligence émotionnelle repose sur 3 grands principes :

  • Reconnaître et mettre des mots sur ses propres émotions ;
  • Être capable de les comprendre pour les maîtriser ;
  • Utiliser cette nouvelle compétence dans sa prise de décision et ses relations.

Les principes de l’intelligence émotionnelle selon Goleman

D’après le modèle de Goleman développé en 1995, l’intelligence émotionnelle permet d’acquérir une meilleure conscience de soi en développant son auto-assurance, sa capacité à s’évaluer de façon réaliste, et à rire de soi-même (auto-dérision). De cette conscience de soi découle une meilleure maîtrise de ses émotions : réfléchir avant d’agir, savoir accepter le changement lorsqu’il se présente, etc. Troisième axe à souligner : la motivation à atteindre un objectif avec persistance et en accord avec ses propres valeurs. Une meilleure connaissance de ses propres émotions contribue inévitablement à une empathie bien plus importante. On apprend à comprendre et à s’impliquer dans le ressenti d’autrui. Conscience de soi, autogestion, empathie, autant de qualités qui contribuent à créer des relations pleines de sens et à accroître son leadership.

L’intelligence émotionnelle : la plus importante des soft skills pour un manager

La capacité de connaître et maîtriser ses émotions est aujourd’hui la clé vers un leadership plus conscient et efficace. C’est la porte d’entrée vers de nombreuses soft skills aujourd’hui très appréciées chez un manager :

  • L’écoute active et sincère, tout en restant professionnel et objectif dans toutes les situations ;
  • La capacité de présence et de concentration sur une tâche ou une situation, jusqu’à atteindre l’état de « flow » ;
  • La communication en entreprise, créer l’environnement propice au dialogue et savoir transmettre un message efficacement ;
  • L’adaptabilité, savoir diversifier son discours et ses réactions dans tous les contextes et face aux personnalités que l’on peut rencontrer ;
  • La négociation, être capable de concilier les intérêts de chacun notamment pour trouver une solution dans la résolution de conflits ;
  • Instaurer un climat de confiance au sein d’une équipe pour favoriser la créativité, l’esprit d’équipe et d’initiative.

Un manager qui fait preuve d’intelligence émotionnelle est un leader qui sait déceler les besoins exprimés par ses équipes, mettre ses émotions au service du bien commun, fédérer des équipes en créant des liens solides.

Bien que cela puisse paraître simple, développer son intelligence émotionnelle, ça s’apprend. Envie d’essayer ? Réservez un coaching avec C Bo Talents et transformez votre leadership aujourd’hui.

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Qu’est-ce que la Process Communication ?

Le terme ne vous dit peut-être pas grand-chose, pourtant, sur les trente dernières années, plus de 130 000 Français ont été formés à la Process Commmunication. Développée par le psychologue américain Taibi Kahler, la Process Communication est un modèle qui propose des outils pour faciliter les échanges entre les personnes. Même au travail, il est possible de mieux communiquer si l’on considère l’individualité de chacun. Zoom sur cette méthode encore méconnue.

Les 6 types de personnalité selon la Process Communication

Le modèle Process Communication décèle en chacun de nous 6 personnalités différentes. Elles cohabitent entre elles, à des degrés variés et nous avons la possibilité de nous exprimer à travers elles. Il existe cependant une base : notre type de personnalité naturel, celui selon lequel nous fonctionnons depuis toujours. Aux côtés de cette base, on trouve la phase : lorsque notre chemin de vie nous pousse à développer un type de personnalité différent de notre base. En fonction du type, les besoins psychologiques, le mode de perception et de communication seront différents.

L’Empathique

Doté d’une grande sensibilité et de compassion, le type Empathique est aux petits soins pour les autres et favorise l’harmonie au sein de l’équipe. Il perçoit et s’exprime à travers la chaleur et les émotions. Son truc : il a besoin de se sentir reconnu et aimé.

L’Analyseur (anciennement appelé le Travaillomane)

Le type Travaillomane est un être organisé et logique qui n’a pas peur des responsabilités. Ses capacités d’analyse et de compréhension sont reconnues dans son entourage. Son truc : qu’on reconnaisse son travail et ses compétences. Il perçoit et s’exprime via les faits. Avec lui, les informations sont échangées de façon presque automatique.

L‘Energiseur (anciennement Appelé le Rebelle)

Le type Rebelle est un véritable bout-en-train. Il possède des richesses de créativité, et de spontanéité et cherche à s’amuser dans toutes ses activités. Son truc : faire des blagues. Le Rebelle perçoit et s’exprime via des réactions sans filtre. Il a un besoin permanent de contact ludique et de complicité avec autrui.

L’Imagineur (autrefois dénommé le Rêveur)

Le monde intérieur du Rêveur est sans limite. Sa capacité de réfléchir et d’imaginer les choses calmement lui permet d’approcher des idées plus complexes que les autres types. Son truc : qu’on lui accorde des moments de solitude et de tranquilité. Sa perception et son expression se font à travers l’imagination.

Le Persévérant

Le type Persévérant est une personne tournée vers les principes. Engagé et consciencieux, ses valeurs revêtent pour lui une importance fondamentale. Son truc : que ses opinions soient entendues. C’est à travers ces dernières qu’il perçoit et s’exprime.

Le Promoteur

Le type Promoteur est un fonceur dans l’âme. Grâce à ses capacités d’adaptation, il vient à bout de n’importe quel défi. Il aime évoluer dans un environnement stimulant, dans lequel l’action est reine. Son truc : relever des challenges.

Comment mieux communiquer au travail grâce à la Process Communication ?

Le modèle Process Communication est un excellent outil de connaissance de soi, de gestion du stress et de sa communication avec les autres. Pour identifier la base d’une personne et communiquer efficacement avec elle, observez attentivement les mots qu’elle emploie le plus souvent. Comment pouvez-vous mêler vos deux personnalités pour éviter les conflits au travail ?

Pour en savoir plus, ne manquez pas le lancement prochain de ma formation en ligne « Mieux communiquer avec ses collègues de travail ».

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Les 4 piliers de la communication non-violente

Mise au point par le psychologue Marshall Rosenberg dans les années 1970, la Communication Non Violente (CNV) propose une autre façon d’interagir avec les autres. Souvent source de conflits, notre manque de remise en question nous pousse à voir nos échanges avec autrui comme un rapport de force. Hors, notre façon de nous exprimer a bien souvent une incidence sur nos relations, dans la vie professionnelle ou personnelle. Tour d’horizon des 4 principes de base de la Communication Non Violente.

Principe n°1 : Observation

Selon Rosenberg, la Communication Non Violente sert les trois objectifs suivants :

  • se libérer du conditionnement culturel qui est en désaccord avec nos désirs profonds,
  • créer un lien naturel et authentique avec soi-même et avec les autres,
  • entretenir des relations dans une générosité spontanée et non contrainte.

L’étape de l’observation consiste à considérer la situation qui nous pose problème de la façon la plus objective possible. En effet, un réflexe naturel serait immédiatement de porter un jugement sur la situation ou la personne qui en est la source. Hors, c’est ainsi que les tensions commencent à se créer. Préférez vous en tenir aux faits. Exemple : « Tu parles trop fort dans l’open space. » devient « Ce matin, tu étais au téléphone et le son de ta voix couvrait mes pensées. »

Principe n°2 : Sentiment

Plutôt que de pointer du doigt le comportement de l’autre et de l’accuser de tous vos maux, exprimez avec des mots ce que vous ressentez. Cette étape nécessite que vous fassiez preuve d’intelligence émotionnelle en vous interrogeant et en mettant des mots sur vos ressentis. Conseil : utilisez le pronom « je » pour expliquer ce que la situation suscite en vous. Exemple : « Quand tu parles à haute voix dans l’open space, je n’arrive pas à me concentrer. »

Principe n°3 : Besoin

Derrière les émotions que vous avez identifiées à l’étape n°2, se cache certainement un besoin inassouvi, une valeur incompromise ou encore une peur profonde. Selon la Communication Non Violente, les jugements que l’on porte sur l’autre ne sont que le reflet de nos propres besoins non comblés. À vous, donc, de mettre le doigt sur cette corde sensible, puis de l’exprimer, toujours de façon bienveillante. Exemple : « J’ai besoin d’être dans le calme pour travailler car je dois rendre ce dossier demain. »

Principe n°4 : Demande

Après avoir mis des mots sur ce qui vous chiffonnait, il est temps de chercher une solution pour améliorer la situation pour chacun. En gardant l’esprit ouvert, formulez donc une demande à votre interlocuteur pour désamorcer le conflit. Ce sera ensuite à lui de pratiquer une écoute active et bienveillante pour trouver un terrain d’entente. Sans rien exiger, posez-lui simplement la question. Exemple : « La prochaine fois, pourrais-tu baisser le son de ta voix ou passer ton appel dans la pièce à côté s’il-te-plaît ? »

La Communication Non Violente mériterait sans nul doute d’être inculquée à l’école, en famille et en entreprise. Mais ce n’est que depuis quelques décennies que le concept se développe en France. La meilleure solution reste encore de se former pour le comprendre. Suivez-moi sur LinkedIn et ne manquez pas le lancement prochain de ma formation en ligne « Mieux communiquer avec ses partenaires de travail ».

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