Dans le monde de l’entrepreneuriat, on entend beaucoup parler de coaching en prise de parole. Souvent reléguée au second plan, la pratique de l’écoute active est pourtant l’un des piliers de la communication. Si elle nécessite une certaine abnégation, la méthode consiste simplement à se concentrer sur l’autre. Pour mieux communiquer, et si on apprenait à écouter ?
Pour pratiquer l’écoute active pendant un échange avec un collègue, vous devez d’abord lui montrer que vous êtes disponible. Si vous consultez votre téléphone ou que vous êtes occupé à une tâche pendant qu’il vous parle, vous ne serez pas dans l’écoute active. Alors, éloignez-vous des sources de distraction pour être pleinement présent dans la conversation.
L’écoute active commence parfois avec un simple « Bonjour (Prénom), comment vas-tu ? ». Débuter l’échange en incluant votre interlocuteur lui permettra de se sentir valorisé et reconnu au sein du groupe. Par ailleurs, si vous êtes réellement dans l’écoute active, il le remarquera et votre relation n’en sera qu’améliorée.
Comme son nom l’indique, l’écoute active consiste à écouter plutôt que parler. En effet, les deux actions doivent coexister dans toute conversation. La technique consiste à se placer en position d’observateur et d’absorber les informations comme une éponge. Pour cela, il suffit de se taire et de laisser l’autre parler. Cette méthode est très utilisée par les entrepreneurs : certains placent même un post-it « Tais-toi ! » sur l’écran de leur ordinateur lors des rendez-vous client. Ils se contentent ensuite de prendre des notes.
Écouter quelqu’un parler revient à lui accorder votre temps, votre attention et votre énergie. Trois ressources si précieuses dans le monde du travail. Quel meilleur cadeau pouvez-vous donc faire à autrui ? Plutôt que de penser à ce que vous allez dire ensuite, mettez-vous à la place de votre interlocuteur. Tentez, pourquoi pas, de déceler derrière ses paroles, son histoire et ses émotions. En bref, écoutez pour comprendre, pas pour répondre !
Toute information qui arrive à notre conscience passe inévitablement par le prisme de notre propre interprétation. Mais pour pratiquer l’écoute active, il est préférable de garder l’esprit ouvert et de laisser de côté nos propres croyances et préjugés. Recevez les mots de votre interlocuteur comme si vous les entendiez pour la première fois. Vous pouvez, bien sûr, poser des questions. Mais elles doivent être les plus objectives possibles pour ne pas orienter la conversation.
Tout l’art de l’écoute active est d’apprendre à distinguer les faits, les opinions et les sentiments dans le discours. Un collaborateur qui vous raconte sa mésaventure du jour mêlera probablement ces trois éléments dans ses paroles. À vous de rester aussi neutre que possible pour rester dans l’écoute sans basculer dans le jugement.
Il n’y a pas de secret, pour mieux communiquer au travail, vous devez pratiquer l’écoute active. Contactez-nous pour organiser une journée de formation ou de cohésion d’équipe avec C Bo Talents.
Les occasions ne manquent pas au travail de recevoir des remarques, jugements et remontrances de la part de ses collaborateurs. […]
Toutes les relations qui existent dans notre société se fondent sur la communication interpersonnelle. Si nous ne faisons pas toujours […]
Les biais cognitifs correspondent à des stratégies mises en place par le cerveau pour faire face aux difficultés. Parce qu’ils […]
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Selon la théorie du neuroscientifique américain Richard Davidson, nous avons chacun un « style émotionnel », responsable de nos réactions à ce […]
C’est le mal du siècle : vouloir tout avoir, tout faire, toujours plus et toujours plus vite. La société dans […]
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Aujourd’hui, près de 55% des salariés français vivraient ou auraient vécu un brown out (Deloitte). Cette profonde perte de sens […]
"Pour ce qui est de l'avenir, il ne s'agit pas de le prévoir mais de le rendre possible" A. De St Exupéry
Et si une grande partie de nos comportements était conditionnée depuis notre enfance ? C’est ce que suggère le modèle des « drivers » bien connu en Process Communication®. Être fort, faire des efforts, se dépêcher, faire plaisir ou être parfait : autant d’injonctions qui peuvent moteur autant qu’elles peuvent nous empêcher d’avancer une fois adulte. Voici leur mode d’action et comment en faire des forces.
En lien avec les différents types de personnalité de la Process Communication® , les « drivers » sont des comportements subtils, intégrés inconsciemment pendant l’enfance. Sans que nous le sachions, ces drivers dictent nos actes et nos choix en tant qu’adulte, dans notre vie professionnelle et personnelle.
Un driver marque l’enclenchement de ce que l’on appelle « une séquence de détresse ». Lorsque nos besoins ne sont pas satisfaits, nous manifestons des comportements négatifs. La communication devient alors dysfonctionnelle, ce qui peut mener à des conflits sur le lieu de travail , plus ou moins exprimés. Pour chaque driver, nous nous sentons obligé.e de nous plier à une injonction, ou bien nous attendons des autres qu’ils le fassent.
Cette injonction incite à dissimuler ses sentiments et à affronter la difficulté seul.e plutôt que demander de l’aide. Par manque de confiance, la personne n’accepte pas de se montrer vulnérable.
Le challenge : apprendre à accepter ses émotions et à s’ouvrir aux autres.
Selon ce driver, la réussite ne peut passer que par un effort harassant. Impossible de réaliser quoi que ce soit sans y mettre toute son énergie, au risque d’éprouver de la culpabilité.
Le challenge : se défaire de la pression et de la culpabilité.
Souvent assénée par les mères à leurs enfants, cette phrase crée des adultes multi-tâches, vivant dans une urgence constante. Or, à trop se disperser, le risque est de ne rien faire correctement ou de ne pas aller jusqu’au bout.
Le challenge : une tâche à la fois pour vivre dans l’instant présent.
Caractéristique du type « Empathique », ce comportement consiste à faire passer les besoins d’autrui avant les siens. Certain.e.s vont même jusqu’à adopter des opinions qui ne sont pas les leurs, juste pour se sentir aimé.e.s.
Le challenge : se recentrer sur soi, apprendre à s’affirmer et à dire « non ».
Les personnes sous l’emprise de cette injonction passent leur vie entière à essayer de faire toujours plus et mieux. Elles ont beau savoir que la perfection n’existe pas, c’est plus fort qu’elles. Le risque de burn-out est particulièrement élevé chez ce type de personnalité.
Le challenge : se donner le droit de faire des erreurs et de prendre du repos.
La première étape est de prendre conscience des drivers qui nous concernent. Une fois conscientisés, ils peuvent devenir de véritables forces. Une personne qui a pris le temps d’apprendre à se connaître est un dirigeant solide, un manager authentique ou encore un indépendant qui prospère.
La Process Communication® s’invite maintenant dans les coachings de C Bo Talents. Réservez votre séance pour vous défaire des injonctions et enfin révéler votre plein potentiel !
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"Pour ce qui est de l'avenir, il ne s'agit pas de le prévoir mais de le rendre possible" A. De St Exupéry
On estime qu’entre 3 et 10% de la population mondiale est atteinte de dyslexie. Et pourtant, seulement 42% des employeurs avouent ignorer les compétences spécifiques aux personnes concernées par ce trouble (Dyslexia et Manpower Group, 2021). Au-delà des difficultés, c’est une véritable force que d’assumer sa dyslexie au travail. Il suffit d’en prendre conscience et de s’adapter à ses spécificités.
D’origine neurologique, la dyslexie se définit par un trouble de l’apprentissage et de la capacité de traitement de l’information. Les personnes atteintes de dyslexie sont confrontées quotidiennement à une confusion dans l’identification des lettres et des sons. Résultat : elles éprouvent des difficultés à prononcer certains mots et font souvent des fautes d’orthographe à l‘écrit. L’écriture et la lecture leur demandant un effort supplémentaire, elles peuvent être sujettes à une fatigue à la fin de la journée.
Bien que reconnue par l’OMS depuis 1991, la dyslexie n’en reste pas moins un handicap invisible. Ce qui en fait un trouble méconnu du grand public, qui souffre encore de certains préjugés. La lenteur dans l’apprentissage et l’exécution de certaines tâches font parfois passer les dyslexiques pour des paresseux ou des déficients intellectuels, alors qu’il n’en est rien.
Il y a en effet de nombreuses raisons d’assumer sa dyslexie au travail, à commencer par toutes les qualités qu’offre le fonctionnement des dyslexiques. Grâce à leur logique spatiale en trois dimensions, ils possèdent une forte aptitude à la visualisation dans l’espace. Ils excellent donc dans la modélisation de produit ou l’architecture informatique. Lorsque la créativité est au rendez-vous, ils sont aussi à l’aise dans les métiers du graphisme, par exemple.
Le raisonnement abstrait des dyslexiques leur permet de résoudre les problèmes avec une aisance déconcertante. Cette aptitude à la réflexion en fait des candidats idéaux pour les postes dans relation client ou le Big Data.
Les personnes dyslexiques sont également reconnues pour leur facilité de prise de parole, leur prise d’initiative et leur empathie. Un dyslexique au poste de manager est donc un gage d’harmonie au sein de l’équipe.
Elle a beau être invisible, la dyslexie mérite tout de même que l’on s’intéresse à elle. Quelques aménagements sont facilement accessibles pour faciliter la vie à votre collaborateur dyslexique :
C Bo Talents accompagne les talents concernés par la dyslexie, mais aussi les employeurs qui intègrent ces talents dans leurs équipes. Parlons ensemble de vos problématiques lors de notre première séance de coaching.
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"Pour ce qui est de l'avenir, il ne s'agit pas de le prévoir mais de le rendre possible" A. De St Exupéry
Selon le Forum économique mondial, l’intelligence émotionnelle figurera parmi les dix compétences les plus attendues chez un manager en 2022 (Source : The Future of Jobs Report 2018). Autant prendre le train en marche et travailler cette soft skill dès aujourd’hui pour façonner le management de demain. Vous y gagnerez, entre autres, un leadership plus aligné et une meilleure gestion de vous-même et de vos équipes. Zoom sur l’intelligence émotionnelle.
Comme son nom l’indique, le terme d’intelligence émotionnelle réunit à lui seul « intelligence » et « émotion ». Deux notions à qui l’on ne prête habituellement que peu de ressemblance. Pourtant, elles sont loin d’être incompatibles. Définie pour la première fois en 1990 par les psychologues Salovey & Mayer, l’intelligence émotionnelle repose sur 3 grands principes :
D’après le modèle de Goleman développé en 1995, l’intelligence émotionnelle permet d’acquérir une meilleure conscience de soi en développant son auto-assurance, sa capacité à s’évaluer de façon réaliste, et à rire de soi-même (auto-dérision). De cette conscience de soi découle une meilleure maîtrise de ses émotions : réfléchir avant d’agir, savoir accepter le changement lorsqu’il se présente, etc. Troisième axe à souligner : la motivation à atteindre un objectif avec persistance et en accord avec ses propres valeurs. Une meilleure connaissance de ses propres émotions contribue inévitablement à une empathie bien plus importante. On apprend à comprendre et à s’impliquer dans le ressenti d’autrui. Conscience de soi, autogestion, empathie, autant de qualités qui contribuent à créer des relations pleines de sens et à accroître son leadership.
La capacité de connaître et maîtriser ses émotions est aujourd’hui la clé vers un leadership plus conscient et efficace. C’est la porte d’entrée vers de nombreuses soft skills aujourd’hui très appréciées chez un manager :
Un manager qui fait preuve d’intelligence émotionnelle est un leader qui sait déceler les besoins exprimés par ses équipes, mettre ses émotions au service du bien commun, fédérer des équipes en créant des liens solides.
Bien que cela puisse paraître simple, développer son intelligence émotionnelle, ça s’apprend. Envie d’essayer ? Réservez un coaching avec C Bo Talents et transformez votre leadership aujourd’hui.
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"Pour ce qui est de l'avenir, il ne s'agit pas de le prévoir mais de le rendre possible" A. De St Exupéry
Le terme ne vous dit peut-être pas grand-chose, pourtant, sur les trente dernières années, plus de 130 000 Français ont été formés à la Process Commmunication. Développée par le psychologue américain Taibi Kahler, la Process Communication est un modèle qui propose des outils pour faciliter les échanges entre les personnes. Même au travail, il est possible de mieux communiquer si l’on considère l’individualité de chacun. Zoom sur cette méthode encore méconnue.
Le modèle Process Communication décèle en chacun de nous 6 personnalités différentes. Elles cohabitent entre elles, à des degrés variés et nous avons la possibilité de nous exprimer à travers elles. Il existe cependant une base : notre type de personnalité naturel, celui selon lequel nous fonctionnons depuis toujours. Aux côtés de cette base, on trouve la phase : lorsque notre chemin de vie nous pousse à développer un type de personnalité différent de notre base. En fonction du type, les besoins psychologiques, le mode de perception et de communication seront différents.
Doté d’une grande sensibilité et de compassion, le type Empathique est aux petits soins pour les autres et favorise l’harmonie au sein de l’équipe. Il perçoit et s’exprime à travers la chaleur et les émotions. Son truc : il a besoin de se sentir reconnu et aimé.
Le type Travaillomane est un être organisé et logique qui n’a pas peur des responsabilités. Ses capacités d’analyse et de compréhension sont reconnues dans son entourage. Son truc : qu’on reconnaisse son travail et ses compétences. Il perçoit et s’exprime via les faits. Avec lui, les informations sont échangées de façon presque automatique.
Le type Rebelle est un véritable bout-en-train. Il possède des richesses de créativité, et de spontanéité et cherche à s’amuser dans toutes ses activités. Son truc : faire des blagues. Le Rebelle perçoit et s’exprime via des réactions sans filtre. Il a un besoin permanent de contact ludique et de complicité avec autrui.
Le monde intérieur du Rêveur est sans limite. Sa capacité de réfléchir et d’imaginer les choses calmement lui permet d’approcher des idées plus complexes que les autres types. Son truc : qu’on lui accorde des moments de solitude et de tranquilité. Sa perception et son expression se font à travers l’imagination.
Le type Persévérant est une personne tournée vers les principes. Engagé et consciencieux, ses valeurs revêtent pour lui une importance fondamentale. Son truc : que ses opinions soient entendues. C’est à travers ces dernières qu’il perçoit et s’exprime.
Le type Promoteur est un fonceur dans l’âme. Grâce à ses capacités d’adaptation, il vient à bout de n’importe quel défi. Il aime évoluer dans un environnement stimulant, dans lequel l’action est reine. Son truc : relever des challenges.
Le modèle Process Communication est un excellent outil de connaissance de soi, de gestion du stress et de sa communication avec les autres. Pour identifier la base d’une personne et communiquer efficacement avec elle, observez attentivement les mots qu’elle emploie le plus souvent. Comment pouvez-vous mêler vos deux personnalités pour éviter les conflits au travail ?
Pour en savoir plus, ne manquez pas le lancement prochain de ma formation en ligne « Mieux communiquer avec ses collègues de travail ».
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"Pour ce qui est de l'avenir, il ne s'agit pas de le prévoir mais de le rendre possible" A. De St Exupéry
Saviez-vous que le rire était arrivé chez l’homme avant la faculté de langage ? Il servait alors de signal pour indiquer à autrui que tout allait bien ou pour exprimer un soulagement. De nos jours et dans certains secteurs (finance, administration …) , l’humour est plutôt mal vu au sein de l’entreprise. Longtemps considéré comme un frein à la crédibilité et à l’autorité, l’humour au travail possède de nombreuses vertus en terme de productivité et de relations entre collègues.
Lorsque vous riez, votre cerveau reçoit une bonne dose d’hormones du bien-être : dopamine, sérotonine et endorphines. La présence de ces neurotransmetteurs contribue à diminuer le cortisol (hormone du stress) et, avec lui, le risque d’être victime d’un burn-out.
Un travailleur détendu sera plus enclin à libérer sa créativité. Il verra sa motivation et sa concentration augmenter considérablement. L’humour au travail est aussi bénéfique si vous occupez un poste à responsabilités. En effet, rire d’une situation permet de la considérer sous un angle nouveau, plus objectif. Il sera plus facile de prendre une décision stratégique après avoir pris ce temps de recul.
Selon Julien Pelletier, expert à l’Agence nationale pour l’amélioration des conditions de travail, le rire « signe l’appartenance à un collectif, fait de valeurs et de repères professionnels communs». Si l’humour est fédérateur par nature, c’est qu’il est fait pour être partagé et pour rassembler les humains que nous sommes. Au bureau, il permet de relativiser un échec ou encore de désamorcer un conflit en apaisant les tensions (lien article). Rire au travail, c’est aussi un excellent moyen d’intégrer une nouvelle recrue, de lutter contre l’isolement et de se créer des souvenirs communs.
La prochaine fois que vous serez pris d’un fou rire en pleine réunion, vous n’aurez donc plus aucune raison de culpabiliser. Quel que soit votre domaine d’activité, il est temps d’oser l’humour au travail. Envie d’offrir à vos collaborateurs un moment convivial pour renforcer les liens ? Réservez dès maintenant votre journée de cohésion d’équipe avec C Bo Talents.
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Chez C Bo Talents, on ne cesse de répéter qu’une entreprise est faite d’humains. Nos différences font notre richesse, mais elles peuvent parfois nous causer bien des soucis. Comment travailler ensemble si nous ne parvenons pas à nous comprendre ? Les disputes entre collègues ont un impact considérable sur la productivité et le bien-être professionnel. Pour désamorcer un conflit, il suffit de poser des mots en déclenchant un dialogue qui valorisera les deux parties. Passons en revue les 4 étapes de la gestion du conflit au travail.
La première question à vous poser est la suivante : « Qui est concerné par le conflit ? » On distingue généralement trois types de conflit au travail :
En bon manager que vous êtes, vous connaissez bien vos équipes. Vous décèlerez donc facilement le différend et prendrez la situation en main. Au contraire, un conflit non pris en charge se répandra comme une traînée de boue pour, à terme, impacter toute l’équipe. À vous, donc, d’engager le dialogue entre les deux parties pour prendre le problème à la racine.
La Communication Non Violente fait des miracles quand il s’agit de mieux gérer un conflit au travail. Elle demande de prendre un moment pour identifier et vivre les émotions négatives que la dispute a pu engendrer (colère, ressentiment, etc.). Une fois que la personne a repris ses esprits, il est plus facile de dialoguer. Conseil : tenez-vous-en aux faits dans un premier temps. Que s’est-il passé exactement ? Puis, laissez chacun exprimer son ressenti face à la situation. À partir de ce qui a été dit, tentez de trouver un compromis grâce auquel les deux personnes sortiront gagnantes.
Quelle que soit la source du litige, il vaut mieux rester professionnel et le plus objectif possible pendant la « médiation ». Prêtez attention à ce qui se dit pendant les échanges, quitte à ne pas tolérer certaines paroles. En effet, un conflit au travail ne doit pas devenir personnel.
Une fois la crise apaisée, pensez à remercier vos collaborateurs pour leurs efforts. Cela peut paraître superflu, mais il est important de rester positif dans les situations difficiles et de revenir à un climat convivial, moins propice à un nouveau clash.
Vous vous sentez concerné par cette problématique ? Pensez à former votre personnel à la gestion des conflits. Réservez dès maintenant une journée de cohésion d’équipe pour resserrer les liens.
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Mise au point par le psychologue Marshall Rosenberg dans les années 1970, la Communication Non Violente (CNV) propose une autre façon d’interagir avec les autres. Souvent source de conflits, notre manque de remise en question nous pousse à voir nos échanges avec autrui comme un rapport de force. Hors, notre façon de nous exprimer a bien souvent une incidence sur nos relations, dans la vie professionnelle ou personnelle. Tour d’horizon des 4 principes de base de la Communication Non Violente.
Selon Rosenberg, la Communication Non Violente sert les trois objectifs suivants :
L’étape de l’observation consiste à considérer la situation qui nous pose problème de la façon la plus objective possible. En effet, un réflexe naturel serait immédiatement de porter un jugement sur la situation ou la personne qui en est la source. Hors, c’est ainsi que les tensions commencent à se créer. Préférez vous en tenir aux faits. Exemple : « Tu parles trop fort dans l’open space. » devient « Ce matin, tu étais au téléphone et le son de ta voix couvrait mes pensées. »
Plutôt que de pointer du doigt le comportement de l’autre et de l’accuser de tous vos maux, exprimez avec des mots ce que vous ressentez. Cette étape nécessite que vous fassiez preuve d’intelligence émotionnelle en vous interrogeant et en mettant des mots sur vos ressentis. Conseil : utilisez le pronom « je » pour expliquer ce que la situation suscite en vous. Exemple : « Quand tu parles à haute voix dans l’open space, je n’arrive pas à me concentrer. »
Derrière les émotions que vous avez identifiées à l’étape n°2, se cache certainement un besoin inassouvi, une valeur incompromise ou encore une peur profonde. Selon la Communication Non Violente, les jugements que l’on porte sur l’autre ne sont que le reflet de nos propres besoins non comblés. À vous, donc, de mettre le doigt sur cette corde sensible, puis de l’exprimer, toujours de façon bienveillante. Exemple : « J’ai besoin d’être dans le calme pour travailler car je dois rendre ce dossier demain. »
Après avoir mis des mots sur ce qui vous chiffonnait, il est temps de chercher une solution pour améliorer la situation pour chacun. En gardant l’esprit ouvert, formulez donc une demande à votre interlocuteur pour désamorcer le conflit. Ce sera ensuite à lui de pratiquer une écoute active et bienveillante pour trouver un terrain d’entente. Sans rien exiger, posez-lui simplement la question. Exemple : « La prochaine fois, pourrais-tu baisser le son de ta voix ou passer ton appel dans la pièce à côté s’il-te-plaît ? »
La Communication Non Violente mériterait sans nul doute d’être inculquée à l’école, en famille et en entreprise. Mais ce n’est que depuis quelques décennies que le concept se développe en France. La meilleure solution reste encore de se former pour le comprendre. Suivez-moi sur LinkedIn et ne manquez pas le lancement prochain de ma formation en ligne « Mieux communiquer avec ses partenaires de travail ».
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