Aujourd’hui, près de 55% des salariés français vivraient ou auraient vécu un brown out (Deloitte). Cette profonde perte de sens au travail concernerait d’autant plus les cadres dont l’activité seraient jugée inadéquate face à leur niveau d’études et de compétences.
Ce n’est pas pour rien que cette expression désigne, en anglais, la diminution de l’intensité d’un appareil électrique afin d’éviter une surchauffe. Le brown out correspond à la perte de sens au travail. Souvent confondu avec le burn out ou le bore out, le brown out n’impacte pas forcément les capacités de la personne, mais surtout sa motivation. Il crée un désengagement progressif que l’on peut qualifier de « démission silencieuse » ou « quiet quitting ».
Lorsqu’il vit un brown out, le collaborateur ne parvient plus à voir au-delà de ses tâches quotidiennes, ni à les replacer dans un ensemble plus grand. Ce qui le conduit à ressentir :
L’apparition d’un ou plusieurs de ces symptômes chez un(e) collaborateur(ice) doit vous alerter. Mais heureusement, ce syndrome étant de plus en plus connu, il existe des façons prévenir son émergence.
Il revient au service RH et au manager de veiller au bien-être de leurs équipes et donc de limiter les risques d’épuisement professionnel, quelque soit sa forme. Pour cela, voici quelques conseils :
Dans la prévention du brown out, le manager doit à tout prix maintenir le dialogue avec ses collaborateurs. Au-delà de veiller à l’efficacité du travail accompli, il lui revient aussi de construire un pont entre la dimension collective et la réalisation personnelle.
C Bo Talents propose des ateliers, formations et séances de coaching pour retrouver du sens dans son travail. Contactez-nous pour en parler.
S’ils se présentent dès la naissance, nos besoins ne nous quittent pas à l’âge adulte. Bien au contraire, nous avons […]
Déjouez les manipulateurs au boulot et gardez le contrôle sur sa sérénité. L’ombre de la manipulation au travail Au travail, […]
S’il y a un moment redouté par beaucoup de personnes, c’est bien celui qui nous fait passer devant l’objectif d’un […]
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Le coaching souffre encore de certains préjugés, comme le fait que les résultats ne seraient pas mesurables ou que le […]
C’est aujourd’hui un Français sur deux qui est concerné par cette nouvelle forme de mal-être qu’est la fatigue informationnelle. Chaînes […]
Bien communiquer avec ses collègues de travail, c’est tout un art. Mais puisque personne n’est parfait, nous commettons tous quelques […]
Notre façon de communiquer avec notre entourage professionnel peut parfois être source de malentendus et provoquer des conflits. Alors comment […]
"Pour ce qui est de l'avenir, il ne s'agit pas de le prévoir mais de le rendre possible" A. De St Exupéry
Un salarié européen sur 3 déclare s’ennuyer au travail, et dans certains cas, l’ennui se transforme en dépression. Ce syndrome de bore-out toucherait environ 6% des salariés en France. Voici tous nos conseils pour prévenir le bore-out.
Souvent décrit comme l’inverse du burn-out, le bore-out est une forme d’épuisement professionnel causé par un ennui chronique et profond au travail. Les principales causes en sont le manque de stimulation et une charge insuffisante de travail. Résultat : on perd le sens de notre activité professionnelle et un mal-être s’installe. Pour les employeurs, le bore-out est synonyme de désengagement des salariés, de turnover et d’absentéisme.
Le terme apparaît pour la première fois au milieu des années 2000, pour être défini en 2015 par « un état psychologique négatif de faible enthousiasme qui se manifeste sous trois formes : une crise de sens au travail, l’ennui au travail et une crise de croissance ».
Les symptômes du bore-out sont très similaires à ceux de tout épuisement professionnel. Psychologiquement, on peut ressentir :
Physiquement, cela peut se traduire par :
Forcément, tout cela provoque bien souvent des changements de comportement qui se ressentent sur le lieu de travail : plus de conflits entre collaborateurs, des performances impactées, moins de prise d’initiative, des tâches personnelles pour s’occuper sur le temps de travail.
À savoir : tout le monde n’est pas concerné par tous ces symptômes à la fois. Certaines personnes n’en ressentiront que quelques-uns. Dans tous les cas, le mal-être s’installe progressivement et parfois sans même que l’on s’en rende compte.
Pour ne pas tomber dans la spirale du bore-out, mettez en place des actions pour retrouver votre motivation : des projets stimulants, de nouvelles rencontres, essayer d’autres méthodes de travail, se fixer des objectifs, etc. Contrez les idées négatives avec la gratitude qui possède des effets bénéfiques sur le bien-être au travail : faire un retour positif sur le travail d’un collaborateur, donner des encouragements. Bonus : la reconnaissance est contagieuse !
S’il n’est pas pris en charge, le bore-out peut mener à une dépression et affecter également la vie personnelle. Si vous ressentez un ou plusieurs symptômes, ne restez pas isolé(e) et parlez-en à vos collègues. En effet, vous n’êtes peut-être pas seul(e) dans cette situation. Puis, sollicitez votre manager pour lui demander d’adapter votre poste (nouvelles missions, changement d’organisation, évolution professionnelle, etc.). Cela permettra de (ré)instaurer la communication avec votre hiérarchie. Enfin, si vous sentez que le bore-out affecte votre santé mentale et physique, consultez la médecine du travail ou votre médecin traitant pour trouver une solution. C Bo Talents vous aide dans votre quête de sens au travail : contactez-nous pour en parler.
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Si leur impulsivité n’est pas toujours appréciée, les TDAH renferment en fait une mine d’or fort appréciée des recruteurs. Mais pour qu’ils exploitent leur potentiel comme il se doit, encore faut-il apprendre à connaître ce trouble et faire un pas vers l’inclusion. Zoom sur le TDAH au travail.
Le TDAH (Trouble de l’Attention Avec Hyperactivité) est un trouble du développement dont les manifestations commencent dès l’enfance. Les symptômes les plus courant sont :
Le TDAH est souvent mal compris de l’entourage professionnel et privé, car les comportements qu’il provoque peuvent passer pour de l’impolitesse. Pourtant, comme tous les profils atypiques, ce trouble ne demande qu’à être connu. En effet, s’il peut peut être vécu comme un handicap, le TDAH est aussi une mine de ressources pour les personnes concernées.
Le TDAH offre un système de pensée qui diffère des schémas traditionnels, et c’est en cela qu’il est une force. Il permet notamment de se forger des compétences recherchées :
Lorsque l’on s’intéresse aux caractéristiques du TDAH, on comprend donc que des adaptations sont nécessaires pour exploiter au mieux ces talents atypiques.
Pour travailler avec une personne présentant un TDAH, l’adaption est la clé :
Que vous soyez employeur ou concerné directement par le TDAH, C Bo Talents vous accompagne notamment grâce à l’hypno-coaching. Contactez-nous pour réserver votre première séance.
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"Pour ce qui est de l'avenir, il ne s'agit pas de le prévoir mais de le rendre possible" A. De St Exupéry
Un collègue qui mange à côté de vous à la pause déjeuner, un stylo qui tombe par terre, le tic-tac d’une horloge … Nombreuses sont ces situations, anodines pour le commun des mortels, mais insupportables pour les misophones. Voici tous nos conseils pour gérer votre misophonie au travail.
Bien que peu diagnostiquée, la misophonie est un trouble neuropsychiatrique qui concernerait près de 15% des Français. Les personnes qui en souffrent ressentent, face à certains sons, des émotions négatives et intenses (colère, dégoût, anxiété). Il s’agit des bruits causés par des tiers : mastication, ronflement, clavier d’ordinateur … Les symptômes peuvent durer plusieurs heures et s’accompagner de sueurs froides ou d’une accélération du rythme cardiaque.
À ce jour, il n’existe aucun traitement qui ait prouvé son efficacité dans la lutte contre la misophonie. Le plus souvent, il est conseillé de se tourner vers les thérapies cognitives et comportementales (TCC) afin d’apprendre à dissocier les sons des émotions qu’ils provoquent. Une autre technique existe : la thérapie d’habituation, utilisée notamment pour traiter les acouphènes. Elle consiste à exposer progressivement le patient aux sons désagréables afin de l’y désensibiliser.
Avant de commencer une thérapie, il est possible de mettre en place des actions au quotidien pour mieux vivre votre misophonie au travail :
Vous avez du mal à gérer votre misophonie au travail ? C Bo Talents vous propose des séances de coaching personnalisées pour apprendre à vivre avec ce trouble et harmoniser vos relations avec vos collègues. Prenez rendez-vous pour notre première rencontre.
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Sédentarité, tâches répétitives, charge mentale : il n’est pas rare d’accumuler les tensions après une journée de travail. On sait aujourd’hui que la pratique du yoga en entreprise favorise la concentration et la gestion du stress. Elle permet aussi de décontracter les muscles, dont le cerveau fait partie ! Voici 6 postures de yoga sur chaise, à faire au bureau.
Commencez par frotter vos mains l’une contre l’autre pendant une vingtaine de secondes. Puis, placez vos paumes sur vos yeux, sans toucher vos paupières. Pour cela, vous pouvez faire comme des petites coupes en pliant légèrement vos mains. Fermez les yeux et laissez la chaleur se diffuser quelques secondes. Terminez en massant doucement vos sourcils, vos tempes et vos pommettes grâce à des mouvements circulaires.
Cet exercice offre un moment de répit à vos yeux fatigués par les écrans. À refaire aussi souvent que nécessaire.
Tendez vos bras devant vous, paumes de main vers l’extérieur. Placez ces dernières l’une contre l’autre en croisant vos bras et vos doigts. Amenez ensuite vos mains vers vous pour les faire passer vers le haut et tendre à nouveau vos bras. Répétez 5 fois, puis refaites-le en changeant le croisement des bras.
En plus d’assouplir vos poignets, cet exercice permet de relâcher les tensions dues à la position des mains sur le clavier d’ordinateur.
Placez le bout des doigts sur vos épaules, coudes vers l’extérieur. Avec ces derniers, effectuez ensuite 10 cercles vers l’avant et 10 cercles vers l’arrière. Avec ce troisième exercice, vous renforcez vos épaules. Terminez en relâchant vos bras et en abaissant les épaules, sans forcer, sur une longue expiration.
Assis sur votre chaise, placez votre main droite à l’extérieur de votre genou gauche. Puis, en vous grandissant vers le haut, tournez-vous vers la gauche et regardez vers l’arrière. Restez sur 5 cycles de respiration (inspiration/expiration), puis changez de côté.
L’exercice de torsion permet d’«essorer » la colonne vertébrale en amenant du mouvement entre chaque vertèbre. Il est important ici de ne pas forcer et de garder le dos droit.
Toujours en position assise, posez votre main gauche sur votre jambe et étirez le bras droit vers le haut. Puis, tout en vous grandissant, penchez-vous vers la gauche pour étirer le côté droit du buste. Si c’est trop difficile pour l’épaule, vous pouvez aussi poser la main derrière la tête. Restez 5 cycles de respiration et répétez de l’autre côté. Ce mouvement détend les muscles du bas du dos, facilement crispés par la position assise prolongée.
Assis, croisez les bras comme pour exprimer votre mécontentement. Puis, placez vos coudes sur vos cuisses, près des genoux. Laissez ensuite le dos s’arrondir et le poids de la tête se relâcher vers le bas. Restez 5 cycles de respiration avant de dérouler la colonne doucement. Avec cet exercice, vous reposez votre chaîne postérieure.
Pourquoi ne pas proposer une initiation au yoga sur chaise, lors de votre prochaine cohésion d’équipe ? Contactez-nous pour en discuter.
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"Pour ce qui est de l'avenir, il ne s'agit pas de le prévoir mais de le rendre possible" A. De St Exupéry
Le mot « business » vous évoque certainement la productivité, le stress ou la rapidité. Et pour cause, ce terme signifie en anglais « le fait d’être occupé ». En pleine expansion depuis les années 1980, le mouvement slow est en train de s’étendre au monde de l’entreprise. En pleine crise mondiale, et s’il était temps de ralentir grâce au slow business ?
Par opposition à la vision du temps sous l’angle de son utilité et de sa valeur financière, en slow business, le temps n’est pas de l’argent. Il est consciemment partagé et apprécié pour sa qualité, plutôt que productif à tout prix. Attention, ces moments « slow » ne remplacent pas les heures essentielles au développement d’une activité professionnelle, mais viennent s’y ajouter.
Après la théorie, passons aux actions concrètes pour pratiquer l’éloge de la lenteur, même au bureau.
La vision selon laquelle la productivité des salariés serait directement corrélée à leur temps de travail, n’est plus valable aujourd’hui. Les moments les plus créatifs sont souvent les plus oisifs. Octroyez à vos employés plusieurs pauses dans la journée, même courtes, pour leur permettre de s’aérer le cerveau.
Tout le monde n’est pas fait pour travailler de 9h à 18h, 5 jours sur 7. Et l’avènement du télétravail a prouvé à beaucoup de dirigeants que le présentéisme n’était pas la solution. Les slow entrepreneurs (ou slowpreneurs) abattent la même quantité de travail que n’importe qui. Ils la condensent simplement en sessions courtes pour profiter du temps qu’il reste à leur journée. Aidez vos collaborateurs à identifier leur fonctionnement : plutôt du matin ou du soir ? Deep work ou méthode Pomodoro ?
Au travail aussi, on retrouve cette injonction à la rapidité. Sauf qu’à vouloir aller toujours plus vite, on se projette dans le futur et se déconnecte du présent. On sait aujourd’hui que la méditation de pleine conscience favorise la concentration, la mémoire et la résistance au stress. Pourquoi ne pas proposer une séance d’initiation dans vos locaux ?
Le bien-être des salariés est au coeur de l’éthique du slow business. Et pour cause, un être humain détendu est un travailleur efficace. En revanche, cela nécessite un management ouvert et moderne. Si le concept est déjà bien installé aux États-Unis, de plus en plus de dirigeants français prennent des initiatives pour la QVT. Quelques idées : aménager une crèche, décréter le droit à la sieste, agencer une salle de sport, etc.
S’ils sont nécessaires à certaines tâches, les écrans ont souvent tendance à vampiriser l’énergie de vos collaborateurs. Vous pouvez, par exemple, décider d’une pause déjeuner sans écran, un jour par semaine. Et, s’il fallait le préciser : interdiction de solliciter vos employés par SMS pour parler boulot le soir et le week-end !
Vous vous demandez par où commencer pour vous mettre au slow business ? Contactez-nous pour mettre en place votre protocole personnalisé.
S’ils se présentent dès la naissance, nos besoins ne nous quittent pas à l’âge adulte. Bien au contraire, nous avons […]
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Pour que vos salariés se sentent bien chez vous, cela ne se résume pas à aménager une salle de repos. La vie personnelle de votre équipe, votre façon de communiquer sont aussi des paramètres à considérer. Mais ce n’est pas tout. Nous vous proposons 5 actions concrètes à mettre en place pour améliorer la qualité de vie au travail.
La démarche peut survenir suite à un conflit, un dysfonctionnement, ou tout simplement émaner d’une volonté de renforcer le bien-être de vos salariés. Les bénéfices de s’intéresser à la QVT sont multiples :
La crise sanitaire a facilité la transition vers le télétravail mais de nombreux dirigeants hésitent encore. Or, plusieurs enquêtes ont révélé que travailler à la maison favorise grandement le bien-être des salariés. Et ce, autant en termes d’équilibre vie professionnelle/vie personnelle, que de confort de travail ou de productivité.
Connaissez-vous le principe de « vitalité au travail » ? Il s’agit tout simplement de favoriser une meilleure efficacité professionnelle grâce à une bonne hygiène de vie. Incitez vos collaborateurs à manger équilibré grâce à une corbeille de fruits plutôt qu’un distributeur de confiseries. Organisez une initiation à la sophrologie. Sensibilisez à l’arrêt du tabac. Prenez soin de votre équipe et elle vous le rendra au centuple.
Échanger avec vos salariés en amont est indispensable si vous voulez améliorer leur qualité de vie au travail. Mais encore faut-il savoir communiquer dans les règles de l’art. Pour cela, il existe un outil formidable : la communication non violente. Cette technique, qui a fait ses preuves dans le monde professionnel, mêle écoute active, gestion des émotions et langage adapté. De quoi vous épargner bon nombre de conflits au travail …
Nul besoin de vous rappeler que vos salariés sont avant tout des mères, des pères … Bref, des êtres humains avec une vie en dehors du travail. Dans un monde où la limite vie pro/vie perso se fait toujours plus fine, pourquoi nier cette réalité ? Aménagez les horaires quand cela est possible, donnez-leur le droit à la déconnexion, adaptez votre management aux périodes de vie de vos collaborateurs (parentalité, deuil, charge mentale …).
Pour recruter et fidéliser vos salariés, vous n’avez d’autre choix que leur donner envie de vous rejoindre. Pourquoi ne pas aménager les locaux avec une décoration plus chaleureuse ou des bureaux communs ? Enfin, le lien humain doit être la priorité numéro 1 au sein de votre équipe : auto-dérision, reconnaissance, confiance …
Cette liste est bien sûr non exhaustive et il n’existe pas d’ordre pré-établi dans une démarche pour améliorer la qualité de vie au travail. Chez C Bo Talents, nous sommes au plus proche des besoins des actifs du XXIe siècle. Planifions votre prochaine séance pour faire pousser les graines de vos talents.
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"Pour ce qui est de l'avenir, il ne s'agit pas de le prévoir mais de le rendre possible" A. De St Exupéry
On estime qu’entre 3 et 10% de la population mondiale est atteinte de dyslexie. Et pourtant, seulement 42% des employeurs avouent ignorer les compétences spécifiques aux personnes concernées par ce trouble (Dyslexia et Manpower Group, 2021). Au-delà des difficultés, c’est une véritable force que d’assumer sa dyslexie au travail. Il suffit d’en prendre conscience et de s’adapter à ses spécificités.
D’origine neurologique, la dyslexie se définit par un trouble de l’apprentissage et de la capacité de traitement de l’information. Les personnes atteintes de dyslexie sont confrontées quotidiennement à une confusion dans l’identification des lettres et des sons. Résultat : elles éprouvent des difficultés à prononcer certains mots et font souvent des fautes d’orthographe à l‘écrit. L’écriture et la lecture leur demandant un effort supplémentaire, elles peuvent être sujettes à une fatigue à la fin de la journée.
Bien que reconnue par l’OMS depuis 1991, la dyslexie n’en reste pas moins un handicap invisible. Ce qui en fait un trouble méconnu du grand public, qui souffre encore de certains préjugés. La lenteur dans l’apprentissage et l’exécution de certaines tâches font parfois passer les dyslexiques pour des paresseux ou des déficients intellectuels, alors qu’il n’en est rien.
Il y a en effet de nombreuses raisons d’assumer sa dyslexie au travail, à commencer par toutes les qualités qu’offre le fonctionnement des dyslexiques. Grâce à leur logique spatiale en trois dimensions, ils possèdent une forte aptitude à la visualisation dans l’espace. Ils excellent donc dans la modélisation de produit ou l’architecture informatique. Lorsque la créativité est au rendez-vous, ils sont aussi à l’aise dans les métiers du graphisme, par exemple.
Le raisonnement abstrait des dyslexiques leur permet de résoudre les problèmes avec une aisance déconcertante. Cette aptitude à la réflexion en fait des candidats idéaux pour les postes dans relation client ou le Big Data.
Les personnes dyslexiques sont également reconnues pour leur facilité de prise de parole, leur prise d’initiative et leur empathie. Un dyslexique au poste de manager est donc un gage d’harmonie au sein de l’équipe.
Elle a beau être invisible, la dyslexie mérite tout de même que l’on s’intéresse à elle. Quelques aménagements sont facilement accessibles pour faciliter la vie à votre collaborateur dyslexique :
C Bo Talents accompagne les talents concernés par la dyslexie, mais aussi les employeurs qui intègrent ces talents dans leurs équipes. Parlons ensemble de vos problématiques lors de notre première séance de coaching.
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